Bonjour
Où l’on reparle du Sovaldi®, de l’impuissance politique nationale face aux géants pharmaceutiques, des incohérences structurelles du marché du médicament. C’est, aujourd’hui, une information du Parisien (Daniel Rosenweg : « Hépatite C : le générique interdit ». Où l’on apprend que Rachid Kerrar, président directeur général des Laboratoires Beker (implantés près d’Alger) s’est offert il y a quelques jours un aller-retour à Paris « pour présenter à une poignée de journalistes deux médicaments génériques anti-hépatite C, mis au point par son labo ». Le Parisien, si l’on comprend bien, était de la poignée. Pour apprendre, en direct, ce qu’annonçait twitter : la mise au point, par les Laboratoires Becker, de deux médicaments génériques anti-hépatite C. Le Parisien :
« Rachid Kerrar était accompagné par sa caution scientifique, le Pr Nabil Debzi, chef du service gastro-entérologie au CHU Mustapha d’Alger. Ces génériques sont autorisés par les autorités sanitaires algériennes.
Le dirigeant de Beker les présente comme »une des solutions au problème de l’hépatite C en France » où, face au prix des médicaments d’origine, les autorités ont dû rationner leur prescription. Sur les 200 000 personnes infectées par le virus en 2015, seules 15 000 ont bénéficié des produits innovants, moyennant… 900 millions d’euros, payés par l’assurance maladie. »
Trente fois moins cher
Le Sofos® (sofosbuvir) et le Sofosled® (sofosbuvir-lédipasvir), appellations commerciales des deux génériques dont Rachid Kerrar est venu faire la promotion, sont les exactes répliques génériques du Sovaldi® et de l’Harvoni®. Ces derniers sont respectivement facturés à la sécurité sociale française (après accord avec le gouvernement) par l’américain Gilead Sciences respectivement 41 000 et 46 000 euros le traitement. Contre 2000 et 3000 euros pour les génériques algériens.
Si Marisol Touraine ne peut tenir sa promesse de soigner tous les malades, Rachid Kerrar se dit prêt à l’aider. « A deux pas de Paris, les Laboratoires Beker proposent un traitement générique trente fois moins cher », insiste le dynamique chef d’entreprise, qui se dit sollicité par des Franco-Algériens et des Français. C’est là, via les médias, un message aux malades qui peuvent, sous conditions et pour leur seule consommation, rapporter en France des médicaments non autorisés. « Il faudrait aussi autoriser l’achat en ligne », ajoute-t-il.
Prix faramineux
Le Parisien rappelle que l’Inde et l’Egypte sont autorisées par Gilead Sciences à génériquer ses molécules – à la condition de ne pas les exporter. Et il est impossible pour Beker d’obtenir de la France une autorisation de vente, car d’autres médicaments y sont déjà présents, protégés par des brevets et commercialisés à des prix faramineux. Pour le ministère de la Santé la question ne se pose pas.
La Direction Générale de la Santé est catégorique : « Ce qui est proposé est illégal, au regard des règles sur les brevets et sur la distribution des médicaments, car cela ne garantit pas la sécurité et la qualité sanitaire des produits. » L’Agence du médicament et l’assurance maladie gardent frileusement le silence. Ces deux génériques ne sont pas automatiques. Jusqu’à quand ?
A demain
J’ai une autre question :
Combien sur les 200000 malades hepatite C guériront de cette maladie virale sans traitement?
Et d’autres termes, combien sur les 200000 malades auraient vraiment besoin d’un traitement?
Je voudrais également partager mon expérience avec l’hépatite C, l’hépatite C 1, pendant environ 20 ans avant qu’elle ne pénètre dans mon sang. Le médecin m’a expliqué qu’il s’agissait de la mendicité de la cirrhose, conseille de prendre Sovaldi. Cependant, c’était si cher, heureusement j’ai entendu le générique indien sovaldi. En janvier 2017, j’avais commencé le traitement de 12 semaines du traitement générique sovaldi Indian acheté en ligne sur medixocentre.com. « J’ai lu beaucoup de forums de traitement Sovaldi très inquiets la première fois que j’ai eu un traitement. En 4 semaines, j’étais indétectable et à ma demande, j’ai été testé pendant 18 mois indétectable! Aucun effet secondaire! » Je suis très reconnaissant!
« J’avais l’hépatite C de type 3A. Je prenais du sovaldi et de la ribavirine pendant 24 semaines. Les effets indésirables ont été légers, voire aucun. Je suis reconnaissant d’avoir été traité. Après 4 semaines, le virus était indétectable depuis près de deux ans depuis la fin du traitement, j’avais du sang teste tout récemment et j’étais indétectable sans hépatite, je recommande le traitement à toute personne atteinte d’hépatite C, cela en vaut vraiment la peine « . Mais comme ce produit coute un peu chere, je peux vous recommander cette pharmacie:https://www.directpharmastock.com/product/sovaldi-400-mg-28-tablets/, qui vous fournira a moindre prix.