Bonjour,
Rien n’est plus étrange que la vérité sinon un communiqué de presse souffrant d’être trop comprimé. Exemple en date du 19 juin 2019 :
« L’Agence Nationale du Médicament Vétérinaire (au sein de l’Anses) appelle les femmes enceintes ou susceptibles de l’être, à rester vigilantes lors de l’administration du médicament vétérinaire REGUMATE EQUIN destiné à réguler les chaleurs des juments. En raison de son action hormonale, ce produit peut entraîner des effets indésirables chez ces femmes-là. »
On s’inquiète. On relit. Il faudra, pour se rassurer, lire l’intégralité du message. Jusqu’à la fin : « Pour déclarer un effet indésirable chez l’Homme suite à l’utilisation d’un médicament vétérinaire : https://signalement.social-sante.gouv.fr ».
A demain @jynau
Journalisme et Santé Publique 
Bonjour, 🙂 excellent !
… Ça ramène à Flaubert , croisé il y a peu, sur ce site, qui écrivait, en 1854, à Louise Colet :
«Je crois que me voilà renfourché sur mon dada. Il faut que ça marche, que ça coure, que ça fulgure, ou que j’en crève; et je n’en crèverai pas.» (¡!)
Juste en passant. Mercis pour la publication.
En effet, l’article complet rassure… Quoi que…
Anecdote pour anecdote, il y a longtemps un ami d’ami m’a raconté qu’il se fournissait chez son véto pour certains médicaments. La raison? Le médicament pour bestiaux coûtait moins cher que son équivalent humain et la molécule était la même. Un générique avant l’heure…