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Le verdict est tombé dans la nuit de mercredi 11 à jeudi 12 septembre : le président de l’Assemblée nationale, Richard Ferrand, a été mis en examen pour « prise illégale d’intérêts » dans l’affaire dite « des Mutuelles de Bretagne », révélée en mai 2017 par Le Canard enchaîné – affaire dans laquelle il est accusé d’avoir favorisé sa femme lors d’une transaction immobilière.
Quatrième personnage de l’Etat le président de l’Assemblée nationale aussitôt annoncé, dans un communiqué, être « déterminé à poursuivre [sa] mission » à la tête de l’Assemblée. « Il n’est pas question d’une démission car une instruction n’est en aucun cas une condamnation », a indiqué son entourage. M. Ferrand a reçu le soutien du président de la République dont il est un proche.
Jeudi 12 septembre les discussions de la « loi mobilité » se poursuivaient dans l’hémicycle – ainsi que celles, en commission, de la révision de la loi de bioéthique, cette bioéthique parfois définie comme la « morale en marche ».
A demain @jynau